Le maïs fourrage Un allié de choix en altitude
Le maïs garantit une source d’énergie aux troupeaux d’altitude ainsi qu’une économie de revenus. La régularité des résultats agronomiques et zootechniques de ce fourrage, selon Centraliment, permet aux exploitations de gagner en autonomie et en diversité fourragère.
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Lionel Duffayet, dans son maïs pour le fourrage de cet hiver. (© Terre-net Média) |
L’objectif minimum, obtenir 12 à 14 tonnes de matière sèche au champ, 30 % de matière sèche plante entière minimum, avec 30% d’amidon. Ceci permet d’avoir un bon compromis entre rendement, qualité de conservation et valeur alimentaire.
Sécuriser, diversifier et rendre autonome
Les éleveurs de moyenne montagne ont souhaité profiter de tous les atouts du maïs et l’adoptent. Cette culture leur permet une autonomie en fourrage en assurant des rendements constants.
« Cela à été bien utile en 2003 pour faire face à la sécheresse et au manque de foin» précise Lionel Duffayet, éleveur de 100 vaches Salers à Saint Cernin, dans le Cantal, qui cultive 8 ha de maïs sur ses 160 ha, et ce à
Il intègre généralement un tiers de maïs fourrage pour deux tiers de foin. Le maïs est un moyen de sécuriser ses fourrages par la diversification et par les bonnes caractéristiques qu'il propose. Il se débarrasse aussi du risque d’achat de foin en cas de mauvaise récolte.
Choisir ses variétés pour l'altitudeL’obtention d’un maïs fourrage de qualité requiert tout de même des caractéristiques particulières à cause de l’altitude.
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